Les stroboscopes martelaient la piste de danse pendant que les jeunes se déchaînaient sur le rythme entraînant de la musique. Assis au bar, je me délectais d'un grand verre de Vodka glace tout en évitant le moindre contact avec autrui, hors mis elle. Mes yeux étaient rivés sur la jeune femme dont l'ondulation de son corps sublimait la piste de danse.
Et alors que je sentais l'alcool brûler délicieusement ma gorge, je ne pus m'empêcher de remarquer à quel point Bonnie pouvait-être excitante, sublime. Je ne m'étais jamais senti chanceux auparavant, Bonnie n'était qu'une blonde parmi tant d'autres, une pauvre malheureuse qui s'était entichée de moi pour je ne sais quelle foutue raison et qui avait décidé de parcourir le long chemin désastreux de l'existence à mes côtés. Je n'ai d'ailleurs aucune idée de pourquoi je l'avais laissé faire à ce moment là. Je lui avais ouvert les portes de mon entre, et l'avais laissée s'immiscer dans mon existence, comme un oiseau faisait son nid. Et une fois qu'elle était entrée dans ma vie, elle me fit bien comprendre que c'était définitif. Ce qui m'avait à la foie enjoué, et donné une envie irrépressible de l'étrangler dans son sommeil.
Mais depuis quelques temps, ces enchevêtrements d'évènements incommodants me donnèrent l'impression d'être heureux. Je ne sais pas réellement depuis combien de temps, mais un matin, alors que je m'étais réveillé à ses côtés, je me suis soudain dit que je l'aimais. D'un amour passionnel et exaltant, qui me donnait envie d'effleurer sa peau chaque nuit que l'on m'avait donné. C'est ainsi que tout avait commencé, par cette illumination de sentiments. J'avais offert la bague que la jeune femme avait essayé de me voler un an auparavant, en guise de promesse de mariage. Je n'avais jamais été aussi loin avant, peut-être parce que Maroushka avait succombé à mes mains avant que je ne puisse sauter le pas, mais cela m'était égal, c'était Bonnie que je souhaitais.
Je me sentais alors chanceux, en cet instant, de voir que les regards s'attardaient sur ses courbes mais qu'il n'y avait que moi qui pouvais effleurer ses cuisses. La jeune femme souriait d'une manière qui incitait les gens à avoir envie d'embrasser ses lèvres roses pourpres, mais ce sourire disait également : ne t'approches pas, jamais.
Finissant la dernière gorgée de mon verre, je me levai et m'avançais sur la piste, dégageant les personnes qui se trouvaient entre elle et moi d'un geste non agressif, mais qui marquait tout de même les esprits dans le sens où mes yeux étaient rivés sur mon but et que rien ne m'empêcherait de l'atteindre. Je posais mes mains sur les hanches de la jeune femme avant de déposer mon visage au creux de son cou, afin d'humer son parfum et de déposer mes lèvres sur sa peau, mes dents caressèrent dans un léger pincement la fermeté de sa chair, puis passant ma main dans ses cheveux, et attrapant sa main, je l'emmenais vers un coin plus tranquille, dans un coin isolé du Nightclub.
- J'ai une surprise pour ma Bonnie.
Le mariage approchait à une allure folle, et malgré le fait que je n'ai plus aucun parent, la jeune femme elle, avait tout de même un entourage que je tenais à impressionner. Sans doute son entourage s'attendait à voir un homme aussi déluré qu'elle, mais je voulais inspirer le respect et le pouvoir... Et pour cela, je voulais que nous roulions sur l'or, aujourd'hui, demain, et montrer une fortune considérable le jour fatidique de notre union.
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Sujet: Re: 50 Carats ♥ Bonnie Lun 15 Fév - 21:30
50 Carats
Aleksei & Bonnie
Je me laissais emporter par la musique, fermant les yeux je laissais le tempo, le rythme mennivré ; prendre possession de mes actes et de tous mes mouvements. Les gens autour de moi n’étaient que peu intéressants et pourquoi je m’attarderais à leurs petites existences qui pouvait se montré si fragile en peu de temps. Ho oui, je pourrais tous les tués un par un et de façon la plus inimaginable que possible. Enfin, j’avais déjà tout imaginé avec mon imagination créative, mais ce n’était pas la soirée parfait pour s’amuser de cette façon. Les options pouvaient se décuplé plus j’amenais mes pensés vers des actes pour le moins violents, mais en fait, je voulais déconnecté. Malgré cette partie de moi qui souhaiterais pousser tout le monde sur mon chemin et rire aux éclats, voilà que je la repoussais malgré l’incitation de ma conscience et lui ordonna de me laisser un moment avec celui que mon cœur battait.
Il venait de me quitter pour allé boire, j’imagine, et j’étais resté ici, mes hanches bougeant au rythme de la musique et mon corps suivait sans bronché à croire que j’avais un don pour bouger de cette façon. Pour nous les femmes, c’était plus facile, car naturellement nous avons cette grâce qui épouse le moindre de nos pas, de nos agissements et malgré mon côté plus dur, violente, j’avais également cette capacité. J’ouvris enfin les yeux, s’entend le charme, la sensualité me prendre autant pour lui que pour ceux qui posait les yeux sur moi. Alors que notre regard s’accrochait je sentis une pincée de bien à l’intérieur de moi et lui sourit comme j’avais si bien l’habitude de faire, pour ensuite quitté ces yeux. Je croisai les yeux d’un autre homme et je ne pus m’empêché de pensé que peut importe ces pensés, s’il s’approchait il risquerait de changer de trajectoire assez rapidement. Mais c’est tout de même agréable de charmé sans se faire touché. Je glissais ma main à mes cheveux alors que j’amenais ceux-ci vers l’arrière, je glissais mon avant-bras contre le côté droit de ma tête me donnant un côté légèrement plus sexy. Mon autre main avait légèrement glissé de mes hanches jusqu’au côté de ma cuisse caressant le tissu de ma robe. Ma robe aurait pu être considérée trop courte pour plusieurs, mais pour moi je la trouvais parfaite!
Notre rencontre pour les moins surprenante et hors du commun remontait à un peu plus d’un an. Moi qui l’avais tué j’aurais cru que ce dernier serait resté coucher au sol sans bouger le moindre petit doigt, mais la situation ces avérés autrement. Quand je l’ai vu se relever, j’ai tout de suite compris qu’il était semblable à moi, différent de tous les autres qui pouvaient nous entourer. Mes sentiments ont rapidement évolué envers lui et j’ai découvert qu’en fait, j’étais amoureuse de lui, ce qu’il était dans tout son ensemble. Il était tout ce que je voulais, il était pourquoi je me bâterais jusqu’à la dernière goûte de moi-même et personne ne pourrait se mettre à travers de mon chemin sinon il en payerait le prix cher. Moi possessive? Totalement et la jalousie n’avais pas le moindre repos avec moi, mais bon, je l’étais seulement si on le touche. Je tournais une dernière fois sur moi-même avant de me retrouver prisonnière d’Aleksei.
Je souris à son contacte et glissa mon bras autour de son cou et me colla à lui, les formes de mon corps contre les siens s’épousant parfaitement, s’emboîtant à la perfection. À croire que nos corps étaient faits l’un pour l’autre. Alors qu’il embrassait mon cou, j’eux un frémissement qui prit possession de moi comme un énorme choc électrique qui parcourant le long de ma colonne vertébrale. Je souris, colla ma tête contre la sienne et glissa mon autre main le long de son flanc donnant une certaine pression du bout des doigts. Mes ongles glissaient le long du tissu de son vêtement et glissa cette main jusqu’à sa fesse. Humm toujours aussi ferme, pas le moindre doute c’était bien mon fiancé. Il retrouva ma main et alors que je me décollais de lui, je compris son désir de nous retirer de cette foule à peine ajun.
Dans un coin plus sombre, je souris et leva un sourcil un peu surpris. '' J’aime ça quand tu m’amènes dans des coins sombres mon loup!'' Ma voix révélait un léger brin d’humour, mais une certaine vérité au passage, je savais qu’il n’avait pas ce genre de projet en tête, mais je ne pus m’empêcher de dire une telle chose. Je levais le nez vers lui et glissèrent mes lèvres qui retrouvèrent les siennes. Elles étaient si délicieuses avec ce petit goût sucré mélanger à de vodka, puis après un échange, je me mis à les mordillés un court moment. Je quittais sa main et glissais le long de son avant-bras pour demander curieusement '' Tu piques ma curiosité; qu’elle ait cette soudaine surprise? '' dis-je une fois que j’avais quitté à contrecœur ces lèvres venimeuse. Je sentais cet enthousiasme me prendre alors que je me doutais légèrement que ce petit quelque chose concernait sûrement notre futur mariage ou enrichir la boutique. '' Est-ce que cela concernerait un petit plan avec un nouveau locataire pour la boutique?'' demandais-je avec un air des plus amusés, excité par cette simple pensée.
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