A peine arrivé dans ce nouveau établissement, que déjà la solitude t’as pris. Tu t’étais bien installée dans ta chambre si vide. Ce lieux manquait cruellement de jeune mineur, ce n’étais pas donc pas les jeunes comme toi qui fait la relève ? Enfin, tu prenais pas très très bien au sérieux tous ça mais cela faisais plaisir à ton père et tu lui envoyais des photos que tu prenais des lieux.
Et en se samedi tu t’étais lever ravis d’être Samedi et tu t’étais empresser de t’habiller pour aller prendre des photos de l'extérieur.
Toute la journée tu avais flammée avec ton appareille photo. Les couleurs, les ombres et les sourires avaient été capturés. C’est ainsi que tu t’es retrouvée au premier étage à l'affût d’un instant clef à prendre; De cette fraction de seconde à retranscrire sur le papier photo.
Malgré cette journée parfaite tu n’avais pas beaucoup été en contact avec les autres trop concentrée sur la lumière ou peut être trop discret pour être repérée et sortir du décor.
Tu avais pousser la porte de la bibliothèque, un lieu magique et silencieux, un sourires se dessinait sur ton visages enfantin. Tes bruits de pas résonne légèrement puis t’es yeux vert  remarque une ombre. Une personne assise là dans un coin à une table seul. La mine blanche et fatiguée, comme vidé. Tu remarque sa main tremblante  et alors tu t’approches de sa table et prenant un livre au hasard. Toute souriante tu t’assois à coter de lui. Tu fais mine de lire se livre sur des maths puis tu te tournes vers L’homme et lui dis assez calment.

-”Salut, dis tu écris quoi si nerveusement ?”

Ta tête poser sur ta mains te donnant une petite bouille et tu le scrute souriante.
Il était plus âgée et ses yeux bleus était étonnant à voire, et ses mains tremblant belle et bien.
Tu ressentais toute sa tension, même sans pouvoir on peux tous ressentir quand une personne est en colère et la c’était plus qu’une boule de nerf ton intervenant.

Le silence, un moment que je cherche depuis longtemps.
Quelque chose me ronge de l’intérieur et personne ne sait ce que c’est. Il faut que j’envoie une lettre à mes parents avant que je ne sois plus capable de le faire. Je me suis levé tôt ce matin pour aller à la bibliothèque à l’ouverture de celle-ci. Je savais que peu de gens allaient faire de même et que je serais tranquille un moment. Je trouve une place de choix, éloigné de tout le monde et je commence à rédiger ma lettre. Je remarque que ma main tremble, je ne suis pas au mieux de ma forme ce matin et je n’ai pas pris le temps d’aller manger un peu. Cette lettre est au centre de mon attention, j’en oublie mes besoins de base. Je veux qu’au moins mon père soit au courant que le nom de McGabhann allait s’arrêter s’il ne faisait pas d’autre héritier mâle. Il s’agit d’une blague entre lui et moi, quand Alice est tombée enceinte et que nous avons su que ce serait une fille. Margot... Ma princesse. Je vais devoir la laisser seule et cette pensée m’enrage. Je déchire la lettre avant de reprendre un autre papier. Je recommence ma rédaction et la porte s’ouvre.

Ce bruit m’agace au plus haut point, je voulais être tranquille, mais je décide de l’ignorer, fronçant un peu plus les sourcils sur ce que je suis en train de faire. Mais je n’avais pas imaginé que ce nouvel arrivant vienne me voir et la chaise à côté de moi bouge. Des cheveux longs se posent sur mon bas et une petite voix s’élève. Je décide de l’ignorer, mais son regard posé sur moi m’oblige à relever la tête et je vois une fille qui doit avoir la quinzaine. Je ne savais pas qu’il y avait des gens aussi jeunes ici et je regarde ma feuille avant de dire, continuant :

« Rien qui puisse t’intéresser, tu ne veux pas aller faire chier quelqu’un d’autre ? »

Je suis insensible à son sourire, je me suis renfermé sur moi même, je ne veux plus sourire, les moments de bonheur ont fané, je ne suis plus que l’ombre de moi même.